Point Bourse de la mi-journée

Les Bourses européennes avaient du mal à trouver une orientation ce jeudi matin alors qu’une salve de statistiques américaines est attendue dans l’après-midi.

Les Bourses européennes avaient du mal à trouver une orientation ce jeudi matin alors qu’une salve de statistiques américaines est attendue dans l’après-midi.

Du côté des actions, les résultats de sociétés soufflent le chaud et le froid sur les cours ce matin.

Ainsi, Société Générale décrochait dans la matinée après avoir publié des résultats supérieurs aux attentes au 4ème trimestre, mais publié une perte nette de 563 millions d’euros dans la banque de financement et d’investissement.

Les résultats de AkzoNobel sont également déprimés au titre de l’année 2009, avec un résultat opérationnel ajusté de 1,15 milliard d’euros, en baisse de 12%, soit une marge en repli de 0,2 point à 8,3%. Du coup, le titre plongeait en fin de matinée à Amsterdam.
Du côté des bonnes surprises, PPR s’octroiait une jolie hausse alors que la baisse de son chiffre d’affaires a ralenti à périmètre et change comparables au 4ème trimestre (-2,3 % à comparer à -5,6 % pour toute l’année).

A Bruxelles, le Bel 20 ne savait pas sur quel pied danser à la mi-séance, les actions le composant étant partagées entre le rouge et le vert. La plus forte hausse de la matinée était à mettre à l’actif de UCB.

Hors du Bel 20, la sicafi wereldhave était en nette progression dans de maigres volumes.

Toujours dans le Bel20, mais au rang des actions à la baisse, les financières étaient à la peine après les résultats peu convaincants de Société Générale. Dexia enregistrait la plus forte baisse de la matinée dans le Bel 20.

Hors indice, EVS était en difficulté.

Hier soir, la Bourse de New York a fini en hausse, parvenant à poursuivre sur sa lancée de la veille avec le soutien d’indicateurs économiques meilleurs qu’attendu: le Dow Jones a gagné 0,39% et le Nasdaq 0,55%.

Sur le marché des changes, l’euro baissait face au dollar jeudi, le billet vert étant soutenu par un relèvement des perspectives économiques américaines par la Réserve fédérale (Fed) alors que la monnaie unique souffrait toujours de craintes sur la santé budgétaire de la Grèce et sur la reprise en Europe.

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