Les marchés européens rebondissent de l'ordre de 2% à la mi-journée après l'important repli de la semaine dernière.
A noter que l'administration Obama a de nouveau démenti des rumeurs de nationalisation de Citigroup. Selon le Wall Street Journal, les Etats-Unis pourraient toutefois convertir leurs titres préférentiels dans Citigroup en actions ordinaires et ainsi obtenir jusqu'à 40% du groupe.
A Paris, le groupe bancaire Natixis rebondit fortement. Un quotidien français indique aujourd'hui que les deux maisons-mères de Natixis, la Banque populaire et la Caisse d'épargne pourraient fusionner et recevoir une injection de fonds du gouvernement français.
Le secteur automobile restait par contre à nouveau à la traîne à l'image de Renault qui cote à de nouveaux plus bas à Paris.
A Bruxelles, le Bel20 progressait d'à peine un pour cent, partagé entre les rebonds de Fortis et Bekaert et les chutes de KBC et Solvay.
Hors de l'indice, Telenet rebondit fermement. Le câblo-opérateur a annoncé des prévisions supérieures aux prévisions des analystes et indiqué qu'il allait procéder à un remboursement de capital de 0,50 EUR par action.
A noter que l'administration Obama a de nouveau démenti des rumeurs de nationalisation de Citigroup. Selon le Wall Street Journal, les Etats-Unis pourraient toutefois convertir leurs titres préférentiels dans Citigroup en actions ordinaires et ainsi obtenir jusqu'à 40% du groupe.A Paris, le groupe bancaire Natixis rebondit fortement. Un quotidien français indique aujourd'hui que les deux maisons-mères de Natixis, la Banque populaire et la Caisse d'épargne pourraient fusionner et recevoir une injection de fonds du gouvernement français.Le secteur automobile restait par contre à nouveau à la traîne à l'image de Renault qui cote à de nouveaux plus bas à Paris.A Bruxelles, le Bel20 progressait d'à peine un pour cent, partagé entre les rebonds de Fortis et Bekaert et les chutes de KBC et Solvay. Hors de l'indice, Telenet rebondit fermement. Le câblo-opérateur a annoncé des prévisions supérieures aux prévisions des analystes et indiqué qu'il allait procéder à un remboursement de capital de 0,50 EUR par action.