Le point Bourse du 12 juillet, à la mi-journée

Les Bourses européennes, entraînées par les valeurs bancaires, ont poursuivi leur correction entamée lundi soir en l’absence d’un accord sur la Grèce renforçant la crainte d’une contagion de la crise de la dette à l’Italie ou à l’Espagne.

BOURSES EUROPEENNES

Du côté des actions, les bancaires étaient à nouveau dans l’oeil du cyclone, surtout les banques italiennes. Intesa SanPaolo et UniCredit étaient déprimées.

Par ailleurs, Thomas Cook Group plongeait après avoir averti que ses résultats trimestriels seraient inférieurs aux attentes.

BHP Billiton reculait également alors que les prix des métaux précieux étaient en baisse.

BRUXELLES HAUSSES

A Bruxelles, pas une seule action du Bel 20 n’était épargnée par la morosité ambiante. Relevons néanmoins les achats à bon compte sur l’action Dexia qui était en peloton de tête du Bel 20 à la mi-séance.

Hors indice, les valeurs défensives étaient plébiscitées à l’image de Retail Estate.

BRUXELLES BAISSES

Toujours à Bruxelles, mais au rang des actions en recul, Umicore fermait la marche du Bel 20 alors que les prix des métaux précieux étaient en net recul.

Toujours dans l’indice, Ageas continuait sa glissade entamée la veille.

MARCHES AMERICAINS La Bourse de New York a fini en nette baisse lundi, vacillante face aux problèmes du plafond de la dette aux Etats-Unis et aux craintes de contagion de la crise budgétaire en Europe: le Dow Jones a lâché 1,20% et le Nasdaq 2,00%.

MARCHES DES CHANGES L’euro évoluait sous la barre des 1,40 dollar mardi, chutant à son plus bas niveau en quatre mois, pénalisé par l’aggravation de la crise de la dette souveraine en Europe qui vise désormais l’Italie.

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