A la fin du mois dernier, le promoteur immobilier Atenor a récolté 50 millions d'euros avec des obligations libellées par petites coupures de 1.000 euros. Ce tarif de souscription relativement bas a permis au petit investisseur de souscrire à une obligation émise par une entreprise belge. Une autre occasion lui avait été donnée en 2015, lorsque le producteur de profilés PVC Deceuninck s'était adressé directement à l'investisseur particulier belge. Mais à part cela, pour l'investisseur, il y a peu à se mettre sous la dent en obligations d'entreprises en petites coupures.
...
Les obligations "retail" végètent... pour mieux redémarrer ?
Ces dernières années, les émissions d'obligations destinées aux petits investisseurs se comptaient sur les doigts de la main. Les taux demeurant à un niveau très bas, d'autres sources de financement s'avèrent plus attrayantes. Pourtant, les experts prévoient que les entreprises finiront par revenir frapper à la porte de l'épargnant belge.
Vous souhaitez continuer à nous lire?
Lisez 3 articles gratuits par mois
Je m'enregistre Je suis déjà enregistréLes abonnés du Trends-Tendances bénéficient d'un accès illimité à tous les articles sur Tendances.be
Je prends un abonnement Je suis déjà abonnéVous souhaitez continuer à nous lire?
Lisez 3 articles gratuits par mois
Je m'enregistre Je suis déjà enregistréLes abonnés du Trends-Tendances bénéficient d'un accès illimité à tous les articles sur Tendances.be
Je prends un abonnement Je suis déjà abonné