Les marchés obligataires tournent à leur tour la page de la crise. Aux Etats-Unis, le rendement du bon du Trésor américain à 10 ans a rebondi à 1,6%, au plus haut depuis février 2020.
Toute l'agitation autour des compteurs numériques ternit quelque peu la réputation des panneaux solaires. C'est regrettable, car l'énergie solaire a encore de très beaux jours devant elle, et votre portefeuille également.
Avec Géraldine Sundstrom à la barre, Pimco GIS Dynamic Multi-Asset Fund s'est positionné fermement sur le secteur des fonds flexibles avec des performances étincelantes en 2020 grâce à un positionnement sur des thématiques fortes.
C'est désormais officiel, Joe Biden est le 46e président des Etats-Unis. Son début de mandat devrait être marqué par deux plans de relance massifs. Tout profit pour une série d'entreprises qui bénéficieront d'une hausse du pouvoir d'achat des ménages ou d'investissements publics.
Après une année boursière étincelante, les fonds exposés sur des tendances écologiques ont bien démarré la nouvelle année. Les fondamentaux restent solides pour les prochaines années.
Les prévisions économiques concernant l'année qui démarre pleuvent ces dernières semaines. Rares sont par contre les conseils concrets destinés à l'investisseur. Raison de plus pour ne pas les rater!
À la fin de l'année, les économistes et les stratèges font le point et se penchent sur les scénarios pour l'année à venir. En 2020, la pandémie de coronavirus a fait dérailler l'économie mondiale. Que nous réserve 2021 ?
La crise du coronavirus fait aussi des gagnants dans le monde de la finance. Parmi eux, les fonds indiciels, aussi appelés ETF, qui ont plutôt bien digéré les derniers mois, et qui sortent aujourd'hui renforcés face aux fonds traditionnels.
Après le fonds dédié à l'égalité des genres Wo=Men en septembre, Belfius Investment Partners lance désormais un compartiment consacré au vieillissement de la population.
Tendu jusqu'au bout, très volatil, le mois d'octobre est le pire connu par Wall Street depuis le début du redressement fin mars. Si les replis sont finalement restés limités à quelques pour cent pour les principaux indices, la tension a été palpable.
Pour de plus en plus d'observateurs, le potentiel boursier des gagnants de la crise sanitaire est désormais épuisé. Les "hedge funds" n'hésitent plus à jouer ces valeurs à la baisse et des stratégistes conseillent de se tourner vers les "perdants" pour anticiper la réouverture de l'économie.
Les actions européennes sont restées en retrait par rapport aux indices américains depuis le début de la pandémie. D'après Rajesh Tanna, le gestionnaire de ce fonds de JP Morgan, il existe toutefois des raisons de rester optimistes pour les perspectives à long terme.
La crise du coronavirus a accéléré de nombreuses tendances. Le secteur immobilier n'y a pas échappé avec des fortunes et des perspectives de plus en plus hétéroclites entre les différents segments.
La mise en place d'une économie circulaire plus efficace est aujourd'hui une nécessité pour la survie de nos sociétés modernes, avec un soutien fort des autorités, notamment en Europe.
A l'ombre des géants de la Silicon Valley, toute une série de sociétés technologiques européennes ont percé en Bourse cette année. L'occasion de faire connaissance avec ces nouveaux noms du Vieux Continent.
Les prises de bénéfices des dernières semaines en Bourse n'ont pas épargné le secteur bancaire qui avait pourtant bien peu profité du rebond des marchés.
A la dérive en Bourse jusqu'à la fin juillet, Bpost a, depuis, fortement rebondi, les marchés étant rassurés par ses chiffres semestriels. Des résultats marqués par la pandémie de coronavirus qui a accéléré la mue du groupe.
Pendant le confinement , les autorités régionales et fédérales ont pris toutes sortes de mesures de soutien dont certaines prendront fin en septembre-octobre. Petit aperçu des principaux changements.
Les dividendes ont chuté de 22% dans le monde au second trimestre 2020, avec une baisse encore plus marquée en Europe, plombés par les effets de la pandémie de Covid-19 qui a fortement affecté les entreprises, selon un rapport publié lundi.
Les obligations souveraines américaines et allemandes ont de tout temps été considérées comme des valeurs refuges. Mais à présent que " treasuries " et " Bunds " ne rapportent plus rien, l'investisseur se tourne vers la Chine.